Ce qui compte dans la danse baladi, c’est d’avoir un corps et une sensibilité à exprimer. Le reste — à ne pas négliger ! — c’est la technique. Contrairement à ce que laisse entendre l’appellation réductrice «danse du ventre», il faut s’armer de force et de souplesse, pas seulement au niveau du bassin, mais bien sur l’ensemble du corps. Heureusement, c’est le meilleur des guides qui montre ici les bases de cette pratique millénaire: Alexandre Paulikevitch a appris son art en France et en Égypte auprès des plus grands professeurs, hommes et femmes. Depuis plus de dix ans, il l’enseigne à son tour, avec rigueur et bienveillance.
Aucune connaissance réquise.
Entrée libre.
Nombre de places limité, inscription obligatoire à [email protected].